Suzanne et le déclic
« Tout est parti d’une feuille blanche et d’un café-serré. Suzanne et notre équipe sont en panne d’idées. La table ronde prévue a été annulée ; les invités n’étaient pas prêts. Cependant, Suzanne tient à sa rubrique et nous aussi. Nous avons une conversation à bâtons rompus. Deux idées viennent s’accrocher à notre insu le café-serré et le déclic. En pensant aux nombreux parcours de formateurs, l’une d’entre nous, Florence relève que le déclic semble être, pour les formateurs, un des critères d’une « bonne » formation. Et nous en restons là. Suzanne revient vers nous quelques jours plus tard et partage ses notes, ses lectures, ses échanges de correspondances. Elle nous demande d’organiser une table ronde pour l’aider à avancer dans sa réflexion. Quand il y a déclenchement, qu’est-ce qui fait qu’on se met en mouvement ? Que devrait- elle changer dans ses pratiques de formation à l’éducation permanente, à l’action politique ? »
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